Turquie/France/Angleterre, faut le voir pour le croire. Rares sont les ralentis pertinents et encore plus rares sont les longs métrages qui débutent sur un ralenti pertinent. Que d’aventures allez vous vivre ce soir à encaisser le scénario le plus honni des gens de Nanarland. Parce que ceux qui ne le savaient pas, notre bande n’est vraiment pas la seule à travailler sur un tel projet d’archivage des choses à ne surtout pas archiver.
Fermons cette parenthèse et poursuivons dans le gras trans audio visuel qu’est la fable impossible qui va suivre. Ce soir, ce sont les turques, les anglais et les français qu’il faut remercier pour ces aventures de Robert Ginty. En 1984, Jean-Marie Pallardy a eu l’excellente idée de créer un univers que je vais tenter, au mieux de mes compétences, de vous résumer. Un frère et une sœur se font brutalement assassiner leurs parents. Ils sont ensuite élevés par Sam, un américain. 20 ans plus tard, de l’autre côté de la toune de générique infecte, la soeur travaille pour un mystérieux exploiteur de mine de diamants. Le plan est simple, la sœur et le frère magouillent pour voler des diamants à leur patron. Puis, coup de théâtre, le plus gros diamant du monde, le White Fire, pierre de légende, est découvert dans la mine où la sœur et le frère magouillent. Ce joyau pèse 200k et est tellement gros qu’il réfléchit une lumière condensée qui brûle tout ce qui y touche. Bien évidemment, la sœur et le frère vont essayer de voler la roche et, bien plus évidemment, la sœur du frère se fait flinguer. On est maintenant au sommet de l’échelle de l’évidence : c’est personnel et l’on va s’entrainer avant la vengeance. C’est ici que ça devient tordu. On a deviné que le frère et la sœur vivaient une sorte de relation platonique incestueuse, décence oblige. La sœur était maintenant haut placée dans l’entreprise du boss des méchants, joué par le très unilatéral Gordon Mitchell que l’on savourera dans RUSH ainsi que dans tellement d’autres bonnes…productions. Comme c’est la sœur qui était le contact à l’intérieur et qui détennait tous les accès, le frère, sans sa sœur, se retrouve à la case départ. Il rencontre alors une fille. La fille ressemble estrangement à la soeur. Le frère a alors l’excellente idée de s’arranger pour faire plastique chirurgifier la fille et ensuite de l’entrainer pour la transformer en sa sœur. Le but avoué, c’est de voler le White Fire. Le but non avoué, c’est de permettre au frère de coucher avec sa soeur. Côté technique, vous ne voulez pas manquer la trame sonore, les costumes et le bon vieil acting traduit et les bris dans la continuité. Douteux avant la lettre au rythme bon et aux séquences variées. White Fire Rares sont les ralentis pertinents et encore plus rares sont les longs métrages qui débutent sur un ralenti pertinent. Que d’aventures allez vous vivre ce soir à encaisser le scénario le plus honni des gens de Nanarland. Parce que ceux qui ne le savaient pas, notre bande n’est vraiment pas la seule à travailler sur un tel projet d’archivage des choses que la masse préfèrerait oublier. Fermons cette parenthèse et poursuivons dans le gras trans audio visuel qu’est la fable impossible qui va suivre. Ce soir, ce sont les turques, les anglais et les français qu’il faut remercier pour ces aventures de Robert Ginty. En 1984, Jean-Marie Pallardy a eu l’excellente idée de créer un univers que je vais tenter, au mieux de mes compétences, de vous résumer. Un frère et une sœur se font brutalement assassiner leurs parents. Ils sont ensuite élevés par Sam, un américain. 20 ans plus tard, de l’autre côté de la toune de générique infecte, la soeur travaille pour un mystérieux exploiteur de mine de diamants. Le plan est simple, la sœur et le frère magouillent pour voler des diamants à leur patron. Puis, coup de théâtre, le plus gros diamant du monde, le White Fire, pierre de légende, est découvert dans la mine où la sœur et le frère magouillent. Ce joyau pèse 200k et est tellement gros qu’il réfléchit (créer en fait…) une lumière condensée qui brûle tout ce qui y touche. Bien évidemment, la sœur et le frère vont essayer de voler la roche et, bien plus évidemment, la sœur du frère se fait flinguer. On est maintenant au sommet de l’échelle de l’évidence : c’est personnel et l’on va s’entrainer avant la vengeance. C’est ici que ça devient tordu. On a deviné que le frère et la sœur vivaient une sorte de relation platonique incestueuse, décence oblige. La sœur était maintenant haut placée dans l’entreprise du boss des méchants, joué par le très unilatéral Gordon Mitchell, que l’on savourera dans RUSH ainsi que dans tellement d’autres bonnes…productions. Comme c’est la sœur qui était le contact à l’intérieur et qui détennait tous les accès, le frère, sans sa sœur, se retrouve à la case départ. Il rencontre alors une fille. La fille ressemble estrangement à la soeur. Le frère a alors l’excellente idée de s’arranger pour faire plastique chirurgifier la fille et ensuite de l’entrainer pour la transformer en sa sœur. Le but avoué, c’est de voler le White Fire. Le but non avoué, c’est de permettre au frère de coucher avec sa soeur. Côté technique, vous ne voulez pas manquer la trame sonore, les costumes et le bon vieil acting traduit et les bris dans la continuité. Douteux avant la lettre au rythme bon et aux séquences variées. White Fire est un must distribués en quantités plus que suffisantes. "Leur vie n'est qu'un enjeu…L'ENJEU? Un diamant de 200 carats!"
Moins 8,4
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