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  • nathanomorin

Virtual Combat / Patrouille du Futur


USA, Enquête à coups de pieds. Les colliers de réalité virtuelle cheaps valent le détour…en parler me donne envie de le revoir, un bijou! Le méchant en particulier est pas mal prétencieusement drôle. Un des meilleurs de Don, dans ses grosses années.

Du Don « The Dragon » à son meilleur, il devra seul infiltrer la base des méchants qui veulent dominer le monde à l'aide d'un green screen façon Robin et Stella. Les colliers cheaps valent le détour…en parler me donne envie de le revoir, vraiment un bijou de synergie douteuse qui nous rappelle que d'avoir quelque chose à dire ne veut pas dire que l'on dit quelque chose. Le méchant en particulier est pas mal prétencieusement drôle. Un des meilleurs de Don, dans ses grosses années, c'est à dire quand ses blessures de vrais combats ne lui avait pas encore enlevées le goût de s'en faire des fausses. On revient au sujet ponctuel : Virtual Combat avec Don ‘the Dragon en bédaine pour rien’ Wilson. Des informations que l’on apprend sur moi quand on commence à me connaître, je dirais que ma fascination pour Don est au même rang que ma haine pour Éric Lapointe, mon amour pour Rogers Normandin et ma prison intérieure qu’est Calvaire de la Chicane. Virtual Combat, quelque fois connue comme étant Grid Runner et qui devient immanquablement Patrouille du Futur en français, est un film ou la réalité virtuelle rencontre la vraie vie et ou les stéréotypes nous rentrent dedans à coup de barres à clous virtuelles dans nos neurones bien réels. Je ne veux pas trop vous parler du film car une bonne partie du questionnement qui y est relié provient de l’absence bien réelle de concepts nouveaux traitant de réalité virtuel. Vous allez tout deviner ce qui s’en vient, ne jamais être surpris et vivre une expérience cinématographique qui ne remplit pas les promesses de dessur la pochette. Promis. Outre les interactions aisément devinables, on est devant un surprenant ramassis d’acteurs talentueux dans leurs talons comme on les aiment : Don the Dragon, Loren Avedon, la fille de Roboflic 2, les boules de la fille de Roboflic 2…une très belle collection de professionnels du doute qui nous offre une performance digne de ce que leur prime avait à prendre comme forme. Et que dire du réalisateur : Andrew Stevens, acteur que l’on a pu admirer dans Ivoire et ContreForce, qui s’est recyclé depuis en responsable de films douteux. Et également les efforts remarqués de Art Camacho, responsable des chorégraphies de combat de tant de films projetés ici, un grand homme que l’on peut voir comme le Bobba Fett cupide des méchants DarthPepin et Darth Merrhi. Donc, il va y avoir pas mal de mamelons, incluant ceux de Don; vous allez être confronté au fait que vous allez réussir à tout prévoir d’un bout à l’autre, ce qui est ma foi pas mal douteux, vous allez entendre la phrase : ‘J’ai greffé un programme informatique à des cellules vivantes’ prononcées sérieusement, voir pas mal de vert fluo, une séquence de roulette russe, des dessous de souliers, plusieurs inconnus se faire mouncher et juste assez de volées pour jusqu’à -6 flotter. Je vous dis qu’on a une séquence qui vaut la peine en vert fluo tout à la fin, couronnée d’un hélicoptère qui... Oh, et le tape devient laid pendant une 1 minute à la 10ième. Si vous trouvez une meilleure version, on en a besoin.


Moins 7,5

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