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  • nathanomorin

StarCrash 2 / Giochi erotici nella 3a galassia / Escape from Galaxy 3


Diffusé 2 fois au Brouhaha. Voici les textes de présentation de ce classique indémodable démodé à sa sortie.

Découvrons ensemble ce film fin 70 qui est un classique du genre. Science fiction semi charnelle, aventure dans l’espace en styromousse. Miam, j’ai hâte! Bon, c’est le 2 mais ça n’a aucun lien avec le premier. Seules quelques séquences de combat spatial directement tirées du premier créé une continuité pour le moins douteuse entre les deux films. Aucun personnages récurrents aux deux; aucune planète, aucun méchant. Rien. Film italien à l’esthétique divergent, Star Crash 2 est paru, je le rappelle, 4 ans après le premier StarWars…toujours intéressant de voir les manifestations du concept de stagnation car pas beaucoup d’idées novatrices ici. On assiste plutôt au recyclage éhonté d’un concept aussi tueur et prestigieux que celui de FlashGordon, Guy l’Éclair en français. Pantalons en lycra jaune, poitrail rouge tout autant trop serré… Il faut voir l’apparence du Roi du Mal ainsi que les épaulettes virilisantes du héros pour commencer à comprendre l’étendue du spectre de souffrance pour les yeux qui nous est ici offert. Faute de mots suffisants, je ne tenterai pas de décrire les deux vidéoclips inclus dans le film, les vaisseaux spatiaux, la bêtise des terriens, les décors, le montage, l’érotisme léger, les costumes, les effets très spéciaux, les décors, les costumes et ainsi de suite… Encore plus fort. Ça frappe encore plus fort quand on écoute le film mais, le fait qu’une civilisation au complet, sauf deux de ses plus fertiles membres, soit rasée dans les dix premières minutes du film, ça ne fait rien à personne. Tellement de morts, si peu d’émotions… Qui reste t-il pour pleurer tout le monde vous demandez? Ne m’obligez pas à aborder le scénario de StarCrash 2 comme une entité ficelée qui se tient, chaque séquence appuyée par, et appuyant l’autre : c’est peine encore plus perdue. Sinon, on a compris l’idée : un Roi du Bien se fait défoncer la gueule par un Roi du Mal, il donne sa babe de fille à son seul sous-fifre compétent. Le bellâtre aura pour mission d’attendre les deux tiers du film avant de la baiser. Mais, le Roi du Mal veut, lui aussi baiser…Alors dans le même décors et dans le même après midi, il tourne plusieurs séquences de lui frustré de pas pouvoir baiser. Ce qui lui fait le plus mal c’est de savoir que les deux autres passent leur temps à apprendre à le faire. Quoi ‘’apprendre’’? Oui, la société de notre galaxie est composée d’individus immortels et qui ne se touchent jamais. Eux-mêmes comme entre eux. Apprendre car, pour satisfaire les mâles qui veulent voir les boules de la princesse, les deux naufragés de l’espace échouent sur la planète Terre. Une planète de contes de fées peuplée de gens incommensurablement influençables. Sur cet oasis, ils découvriront l’eau. Oui, l’eau, le liquide qui se boit, et l’amour. L’amour physique, pratiqué par les citoyens de la galaxie du futur, aura de sévères répercussions. Surtout dans la forme plus que dans le fond car, les spectateurs apprennent que les gens du futur sont immortels en même temps que nos deux héros apprennent que d’avoir du sexe leur fait perdre leur immortalité. Les répercussions de cet effet secondaire, soit perdre leur immortalité, sont ensuite assimilées en quelques secondes par les héros. Douteux. D’autant plus douteux qu’ils savent pertinemment ce qu’est le concept de mort, eux qui viennent de perdre TOUS les membres de leur race. Rattrapés par le Roi du Mal, ils seront sauvés de justesse par le montage. Au prétendu final, une question, minimum, demeure : pourquoi tout le monde parle la même langue dans l’univers? StarCrash 2, qui se voulait une métaphore de la renaissance de l’amour, est plutôt un eXcellent film bien, bien douteux. Bon, c’est le 2 mais ça n’a aucun lien avec le premier. Seules quelques séquences de combat spatial directement tirées du premier créées une continuité pour le moins douteuse entre les deux films. Aucun personnage récurent aux deux; aucune planète, aucun méchant. Rien. Film italien à l’esthétique divergent, Star Crash 2 est paru, je le rappelle pour ceux qui ont la couleur, 4 ans après le premier StarWars. Cependant, ici, pas beaucoup d’idées novatrice. On assiste plutôt au reclage éhonté d’un concept aussi tueur et prestigieux que celui de FlashGordon. Guy l’Éclair en français. Il faut voir l’apparence du Roi du Mal ainsi que les épaulettes virilisantes du héros pour commencer à comprendre l’étendue du spectre de souffrance pour les yeux qui nous est offert. Fautes de mots suffisants, je ne tenterai pas de décrire les deux vidéoclips inclus dans le film, les vaisseaux spatiaux, la bêtise innocente des terriens, les décors, le montage, l’érotisme léger, les costumes, les effets très spéciaux, les décors, les costumes et ainsi de suite… Ça frappe encore plus quand on écoute le film mais, le fait qu’une civilisation, au complet sauf deux, soit rasée dans les dix premières minutes du film et que ça ne fasse rien à personne : douteux. Tellement de morts, si peu d’émotions… Sinon, on a compris l’idée : un Roi du Bien se fait défoncer la gueule par un Roi du Mal, il donne sa babe de fille à son seul sous-fifre compétent avec la mission d’attendre les deux tiers du film avant de la baiser. Le Roi du Mal veut, lui aussi, baiser…Alors dans le même décor, dans le même après midi, il tourne plusieurs séquences de lui, frustré de ne pas pouvoir baiser alors que les deux autres apprennent à le faire. Quoi ‘’apprendre’’ à baiser? Oui, la société du futur du Roi du Bien est composée d’individus immortels qui ne se touchent jamais. Eux-mêmes comme entre eux. Heureusement pour les mâles qui veulent voir les boules de la princesse, les deux naufragés de l’espace échouent sur la planète Terre. Une planète de comptes de fées peuplée de gens incommensurablement influençables. Sur cet oasis, ils découvriront l’eau, ce qui se boit, et l’amour physique, ce qui se fait. Rattrapés par le Roi du Mal, ils seront sauvés de justesse par le mauvais montage. Avant de tourner la page, posons nous ces dernières questions : pourquoi tout le monde parle la même langue dans l’univers? StarCrash 2, qui se veut avant tout une métaphore de la renaissance de l’amour, est plutôt un excellent film bien douteux pour lequel j’ai amené une nouvelle série de projectiles…


Moins 7,4

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