Une histoire de Spider-Man qui raconte encore la genèse du héros, mais sans tomber dans le stéréotype.
Pour ceux qui ne le savent pas, Spider-Man m’a fait décrocher des comics dans les 90. Le Jackal, super méchant scientifique, avait parti une run impliquant des clones de Spider-Man. Un moment donné, y,en avait 3 des Spider-Man et...sérieusement. Y’a un peu de ça ici alors que le KingPin tente de créer un lien entre les multivers parce qu’il est méchant, ce qui apporte plein de Spider-Man différents dans l’univers de Miles, un jeune garçon (il est noir, genre afro-américain, mais ça change rien à rien, alors j’allais opter pour pas en parler avant d’ouvrir cette parenthèse paradoxe qui se cancelle elle-même) qui va se découvrir lui aussi un nouveau Spider-Man. Le traitement visuel et sonore de l’oeuvre score totalement. Tellement que je me dis que ça aurait été bien de voir ça au cinéma. Et je ne me dis jamais ça. Du moins, jamais bin longtemps. Y’a de l'action, quelques bons punchs et une finale qui m’a levé les poils sur une partie du bras.
Plus 7,36
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