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  • nathanomorin

Real Bullets


Diffusé circa 2010. Et voici les textes que ça m,a stimulé. De la bombe!

Le pas très bo "100 de chance de mourir." Sans blague, c'est écrit ça ! Écrit, acté et produit par le héros bedonnant armé d'un arc plus efficace que deux mitraillettes…ouch, vraiment très bon mauvais film. Une équipe de cascadeurs américains s'entraine à cascader dans un pit de sable en banlieue de L.A. Malheureusement, une bande de malfrats...Je recommence, une très nombreuse bande de malfrats décide d'investir le même pit de sable en banlieue de L.A. pour y commettre des actes malfraisants. L'équipe de cascadeurs de cinéma parviendra t-elle à tuer autant de malfrats sans éveiller le soupçon de la grosse connerie chez les spectateurs que nous sommes? Pourquoi autant de temps dans les pit de sables dans les douteux? Vous aurez au moins une réponse sur deux avec Real Bullets On donne -1 pour la pochette en partant. En fait, c’est assez simplet de voir comment on calcule ça, les notations. À chaque élément douteux, on donne un -1, devenant de plus en plus sévère à chaque étape. C’est pourquoi tellement de films oscillent autour de -4 et -5 car quand on est autour du 0, les points sont encore plus facile à gagner. C’est aussi ce qui explique que les différences entre les -8 et les -6 semblent plus grandes qu’entre un -4 et un -6. Personnellement, je suis du genre à avoir envi de réécouter un -5 quelques années après la première fois et à très rarement terminer un -3 sans l’avancer. Les -4 sont donc cette limite mince entre l’envie d’arrêter et la curiosité morbide/l’espoir honnête de trouver une séquence valant -1 d’un gros coup et amenant l’œuvre à -5. -5 reste le consensus minimum pour être proposé ici. D’ailleurs, j’ai écouté Future Cops, PlayMate of the Apes et Super Hell dernièrement… du douteux différent que l’on va sûrement vous proposer avant longtemps. D’ailleurs, I.F.O. c’est bin plus douteux que l’études de style indigestible de la semaine passée…Nostalgiquement, tout cela me fait penser à Breen. Mais, pour ce soir, c’est Real Bullets, version française de Real Bullets. Real Bullets, ça veut dire ‘Raie Suintante’ en Diola et ‘Vraies Balles’ en français. Vraies balles, ça m’amène à vous parler d’un autre concept extrêmement douteux illustré jusqu’au niveau métaphysique par ce long métrage de 1990. " Cette fois, ce n’est plus un jeu." Combien de fois avez-vous croisé ce concept dans vos heures de cinéphilie assumée? Combien de fois avez-vous été témoins d’un évènement lourd qui vient changer les règles du jeu au point de faire du jeu la réalité : tu perds, tu meurts? Combien de calice de métaphores de pilules rouge et bleues on s’est fait gaver par les yeux? Peut-être juste derrière la proie qui devient le prédateur, cette fois ce n’est plus un jeu est de ces concepts pour lequel on va offrir 3 milliards de nanosecondes de silence. Pourquoi métaphysique ai-je dis? Le scénariste et acteur principal de Real Bullets, John Gazarian, tient le rôle de John. Sa blonde dans la vraie vie est Darlene Landau, fille de Martin Landau, seul acteur connu du film. Darlene, dans Real Bullets, joue le rôle de Darlene, la blonde du héros, John. Également, on retrouve Merrit dans le rôle de Merritt, Jim dans le rôle de Jim, Patrick dans le rôle de Pat, Claudia dans le rôle de Claudia, Wolfgang dans le rôle de Wolfgang, Samir dans le rôle de Samir et ainsi de suite… En sommes, une bande de cascadeurs de cinéma dans la vraie vie s’est mise au centre d’un récit fictif racontant les aventures d’une bande de cascadeurs d’Hollywood. Et cette histoire, c’est quoi? "Cette fois ce n’est plus un jeu." Tel quel sur la pochette: "Ils ont 100 de chance de mourir."


Moins 6,2

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