On a diffusé ce film 3 fois. C'est de ces chef d'oeuvres qui deviennent meilleurs à chaque nouvelle écoute. Voici les nombreux textes que ça m'a inspiré...
USA, fille de millionaire kidnappée à délivrer. Une réalisation de 1986. Ce film est dû à Frank Harris, à qui l’on doit également le long métrage de KamenRider, fait pour la télévsion en 2007, ainsi que Ninja Assassin, Ninja Enforcer et Ninja Nightmare, trois films fait en 1978. Bonne année pour les ninjas! Cependant, pas de ninjas dans Low Blow/Coup Bas. Nope, cette fois ci, c’est plutôt un vieux maître de techniques de combat japonnaises, ou d’ailleurs, qui est au centre du développement. Joe Wong est un détective privé. Sa personnalité, vous allez le comprendre, consiste à être un vieux traineux malpropre, très mauvais créancier, incapable de conduire un automobile. C’est également, vous allez être surpris, le meilleur. L’histoire débute dans un restaurant déli quelconque. Des bandits se font stopper par le très véloce Joe Wong, qui usa d’un sandwich comme prétexte pour s’infiltrer. Après ces premiers meurtres de la journée, Wong relaxe au volant de son gros char orange quand il est témoins d’un vol de sac à main. Sans réfléchir, il bondit dans l’action. Deux interventions fortuites et on est tout frais sortis du générique, WOW! C’est lors de cette deuxième intervention qu’íl est repérér par John Templeton, un millionaire qui s’est fait kidnapper sa fille. On entrendra ensuite des phrases comme : Je coute très cher, mais je garanti les résultats. Je vais recruter les meilleurs des meilleurs au concours des massacres. Annule mon sandwich. Et tellement d’autres âneries. Oui, vous avez bien deviné : Joe Wong, joué par Leo Fong, devra recruter un boxeur, un ex policier, un vétéran du Viet-Nam, une championne olympique de l’Allemagne de l’Est et quelques autres Gilles encore plus dépourvus de stéréotype. Leur mission : sauver des griffes du culte religieux de Yarakunda la fille du millionaire Templeton. On remarquera, près du sommet de l’échelle de l’illogisme, le fait que les mercenaires de Wong acceptent de prendre d’assaut une base de méchants, d’en mouncher plusieurs et de faire face à des rafales de mitraillettes, en sommes : de frôler la mort plusieurs fois; et le tout pour 2000$ par mercenaires. Outre Cameron Mitchell, grand pontife du douteux qui joue le rôle de Yarakunda, on remarque la présence de Troy Donahue, autre grand habitué des productions inutiles. Mais c’Est surtout la première présence à l’écran de Billy Blanks que je tiens à souligner. Big Bill, c’est son surnom, fût le garde du corps muet de Yarakunda longtemps avant de tenir la vedette dans d’autres longs métrages vaseux ou d’être la mascotte de Subway. À noter que Jared Fogle, LE Jared, prit la place de Billy Blanks en 2001 en tant que mascotte des sandwichs. Finalement, j’aimerais noter la performance de Akosua Busia, la succube manipulatrice, cœur du mal, pas fine de ce film. Quelque part entre la 12 et 14 ième minute du film, elle va nous offrir un discours hypnotique brainwashant…une merveille. En tout et pour tout, Low Blow est un de ces douteux à deux tounes thèmes qui vieillit très bien. L’ambiance téléfilm, le traditionnel chinois à rabais, le rythme mélassé et, comme je viens juste de le mentionner, les deux tounes thèmes récurantes qui accompagnent à merveille tout le visuel discutable. Pour ceux qui vont venir au Brouhaha ou ceuzes qui vont un jour voir la chose. Le pinacle est sûrement à la 47ième minute. Attendez vous à un bon 5 minutes de vidéoclip au proportions de discutabilité gargantuesque qui se termine avec Leo Fong, toujours en tant que Joe Wong, qui scie le hood d’un char pour faire peur à 4 figurants. Vraiment, LowBlow, avec Léo Fong est un bijou plein de surprise. Car, non seulement était-il déjà assuré d’une place spéciale tout près du sommet de la montagnes des immondices audio-visuels qu’on a vu et répertoriés, mais en plus, le film s’est permis de nous révéler deux de ses plus grands secrets tout récemment. C’est en effet dans ce film que Billy Blanks, sujet douteux de la semaine passée, a fait ses débuts en tant qu’« acteur », quelle belle surprise! De plus, Yarakounda, le prophète original autour duquel le culte de la lumière s’est construit, est finalement interprété par le spécial de gamme Cammeron Mitchell. J’ai n’ai découvert tout cela que dernièrement, à ma dernière écoute, environ 6 ans après l’avoir vu pour la première fois. Avant dernière écoute en fait, car ça m’a fait très plaisir de revoir Léo Fong devenir Joe Wong cette semaine pour vous en tirer les extraits qui vont suivre. Vous êtes rendus habitués à la recette, j’en discute un peu puis je vous laisse essayer de comprendre. Écoutez ça, Léo Fong, c’est le scénariste, producteur, réalisateur, acteur principal et metteur en scène de ce film là. Tous les honneurs lui reviennent, car LowBlow, Coup Bas reçoit une solide note de -8. Film plutôt visuel qu’auditif, je suis quand même fier de vous passer la séquence durant laquelle la très méchante manipulatrice fait son discours pour brainwasher les adeptes du culte de la lumière. Je vous mets au défi d’essayer de toutes vos forces de réussir à vous faire laver les cellules grises…ça demande beaucoup de bonne volonté…vraiment beaucoup…beaucoup… Une réalisation de 1986. Le film de ce soir est dû à Frank Harris, à qui l’on doit également le long métrage de KamenRider, fait pour la télévsion en 2007, ainsi que Ninja Assassin, Ninja Enforcer et Ninja Nightmare, trois films fait en 1978. Bonne année pour les ninjas! Cependant, pas de ninjas dans Low Blow/Coup Bas. Nope, cette fois ci, c’est plutôt un vieux maître de techniques de combat japonnaises, ou d’ailleurs, qui est au centre du développement. Joe Wong est un détective privé. Sa personnalité, vous allez le comprendre, consiste à être un vieux traineux malpropre, très mauvais créancier, incapable de conduire un automobile. C’est également, vous allez être surpris, le meilleur. L’histoire débute dans un restaurant déli quelconque. Des bandits se font stopper par le très véloce Joe Wong, qui usa d’un sandwich comme prétexte pour s’infiltrer dans le restaurant pris en otage. Après ces premiers meurtres de la journée, Wong relaxe au volant de son gros char orange quand il est témoins d’un vol de sac à main. Sans réfléchir, il bondit dans l’action. Deux interventions fortuites et on est tout frais sortis du générique, POW! C’est lors de cette deuxième intervention qu’íl est repéré par John Templeton, un millionnaire qui s’est fait kidnapper sa fille. Et cette dernière phrase vous permet de tout comprendre le film. Son Alpha et son Oméga du moins, le Zeta étant à développer… On entrendra ensuite des phrases comme : "Je coute très cher, mais je garanti les résultats". "Je vais recruter les meilleurs des meilleurs au concours des massacres". "Annule mon sandwich". Entres autres…. Oui, vous avez bien deviné : Joe Wong, joué par Leo Fong, devra recruter un boxeur, un ex policier, un vétéran du Viet-Nam, une championne olympique de l’Allemagne de l’Est et quelques autres Gilles encore plus dépourvus de stéréotype. Leur mission deux points sauver des griffes du culte religieux de Yarakunda la fille du millionnaire Templeton. On remarquera, près du sommet de l’échelle de l’illogisme, le fait que les mercenaires de Wong acceptent de prendre d’assaut une base de méchants, d’en mouncher plusieurs et de faire face à des rafales de mitraillettes, en sommes : de frôler la mort plusieurs fois; et le tout pour 2000$ par mercenaires. Outre Cameron Mitchell, grand pontife du douteux qui joue le rôle de Yarakunda, on remarque la présence de Troy Donahue, autre grand habitué des productions inutiles. Mais c’est surtout la première présence à l’écran de Billy Blanks que je tiens à souligner. Big Bill, c’est son surnom, fût le garde du corps muet de Yarakunda longtemps avant de tenir la vedette dans d’autres longs métrages vaseux pour ensuite devenir la mascotte de Subway. À noter que Jared Fogle, LE Jared, prit la place de Billy Blanks en 2001 en tant que mascotte des sandwichs. Finalement, j’aimerais noter la performance de Akosua Busia, la succube manipulatrice, cœur du mal, pas fine de ce film. Quelque part entre la 12 et 14 ième minute du film, elle va nous offrir un discours hypnotique brainwashant…une merveille. En tout et pour tout, Low Blow est un de ces douteux à deux tounes thèmes qui vieillit très bien. L’ambiance téléfilm, le traditionnel chinois à rabais, le rythme mélassé et, comme je viens juste de le mentionner, les deux tounes thèmes récurantes qui accompagnent à merveille tout le visuel discutable. Le pinacle est sûrement à la 47ième minute. Attendez vous à un bon 5 minutes de vidéoclip au proportions de discutabilité gargantuesque qui se termine avec Leo Fong, toujours en tant que Joe Wong, qui scie le sommet d’un auto pour faire peur à 4 figurants. Une réalisation de 1986. Le film de ce soir est dû à Frank Harris, à qui l’on doit également le long métrage de KamenRider, fait pour la télévsion en 2007, ainsi que Ninja Assassin, Ninja Enforcer et Ninja Nightmare, trois films fait en 1978. Bonne année pour les ninjas! Cependant, pas de ninjas dans Low Blow/Coup Bas. Nope, cette fois ci, c’est plutôt un vieux maître de techniques de combat japonnaises, ou d’ailleurs, qui est au centre du développement. Joe Wong est un détective privé. Sa personnalité, vous allez le comprendre, consiste à être un vieux traineux malpropre, très mauvais créancier, incapable de conduire un automobile. C’est également, vous allez être surpris, le meilleur. L’histoire débute dans un restaurant déli quelconque. Des bandits se font stopper par le très véloce Joe Wong, qui usa d’un sandwich comme prétexte pour s’infiltrer dans le restaurant pris en otage. Après ces premiers meurtres de la journée, Wong relaxe au volant de son gros char orange quand il est témoins d’un vol de sac à main. Sans réfléchir, il bondit dans l’action. Deux interventions fortuites et on est tout frais sortis du générique, POW! C’est lors de cette deuxième intervention qu’íl est repéré par John Templeton, un millionnaire qui s’est fait kidnapper sa fille. Et cette dernière phrase vous permet de tout comprendre le film. Son Alpha et son Oméga du moins, le Zeta étant à développer… On entendra ensuite des phrases comme : ‘Je coute très cher, mais je garanti les résultats’. ‘Je vais recruter les meilleurs des meilleurs au concours des massacres’. ‘Annule mon sandwich’. Entre autre…. Oui, vous avez bien deviné : Joe Wong, joué par Leo Fong, devra recruter un boxeur, un ex policier, un vétéran du Viet-Nam, une championne olympique de l’Allemagne de l’Est et quelques autres Gilles. Leur mission :deux points: sauver des griffes du culte religieux de Yarakunda la fille du millionnaire Templeton. On remarquera, près du sommet de l’échelle de l’illogisme, le fait que les mercenaires de Wong acceptent de prendre d’assaut une base de méchants, d’en mouncher plusieurs et de faire face à des rafales de mitraillettes... en sommes : de frôler la mort plusieurs fois; et le tout pour 2000$ par mercenaires. En tout et pour tout, Low Blow est un de ces douteux à deux tounes thèmes qui vieillit très bien. L’ambiance téléfilm, le traditionnel chinois à rabais, le rythme mélassé et, comme je viens juste de le mentionner, les deux tounes thèmes récurantes qui accompagnent à merveille tout le visuel discutable. Le pinacle est sûrement à la 47ième minute. Attendez vous à un bon 5 minutes de vidéoclip au proportions de discutabilité gargantuesque qui se termine avec Leo Fong, toujours en tant que Joe Wong, qui scie le sommet d’un auto pour faire peur à 4 figurants. Y'a Cameron Mitchell full gossant et y'a Troy Donahue, égal à lui-même égal à un deux par quatre, y'a la fille qui a pogné en tant que révélation dans un autre film et de laquelle on a plus jamais entendu parler après celui-ci, c'est Akosua Busia, la succube manipulatrice, cœur du mal, pas fine de ce film. Quelque part entre la 12 et 14 ième minute du film, elle va nous offrir un discours hypnotique brainwashant…une merveille que j'espère pouvoir mettre comme sonnerie de cellulaire quand j'en aurai un. Mais, surtout, dans Low Blow, pour la première fois de sa carrière, donc ce qui causa au monde la perte de sa virginité: y'a la mascotte de Subway préférée de tous, l'inventeur de l'aérobie rebrandée sous un autre nom, le sur-génial world all-time 'meilleur acteur de par sa moyenne de notes de films douteux à -7, à égalité avec Alexander Lou et Jay Roberts Jr.', the one man and one montage wrecking crew, 210 livres cut de muscles numide-américain, the kid from le middle state numéro 16 qui sonne indien quand on le dit, un gars qui serait bin plus Chuck Norris dans les jokes si le monde comprenait ce qu'est Chuck Norris, la machine qui s'est fait kicker out de la compétition internationale par un yokogueri merveilleux dans face de Larry Kelley, celui qui me pettrait la yeule s'il m'entendait parler de quand Larry Kelley lui a pété la yeule, l'infatigable qui en fait pu depuis longtemps parce que ça y tente pu pis pour aucune autre raison, vous remarquerez ses dents blanches, vous l'avez devinez ou vous vous êtes endormis, je parles bien entendu, mesdames et messieurs: de Billy Blanks, qui est ce soir livré pour vous!
Moins 8,36
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