Check, je sais pas ça vient de quel endroit l’idée que Highlander c’est bon, mais certainement pas de ce 4e volet. Poursuivant dans la lignée de cette diégèse totalement incompréhensible de combats d’immortels que paraît qu’il ne peut en rester qu’un depuis 4 films.
Ici, on apprend que les immortels sont comme une espèce de jeu de la mort supervisé par une autre ‘race humaine’ avec un nom que je riais trop pis j’ai pas compris c’était quoi. Parait que y’a un méchant qui est rendu à 661 immortels de tués, par rapport à 220 pour Christophe ‘Connor MacLeod’ Lambert, qui a décidé de changer de changer les règles. Y’a des ralentis en masse, des personnages qui s’écoute parler, DOnnie Yeh que veux-tu bin m’dire, un nouveau MacLeod immortel avec des flashbacks avec Connor en foison, même si on l’a pas vu dans les 3 films loadés de flashbacks d’avant. Probablement pire que tût, c’est la relation entre Duncan MacLeod et la fille qu’il a dompé y’a 400 ans sans savoir qu’elle était immortelle. Je suis proche du concept le plus coincidentalement cave que j’ai croisé ever, pis juste après ça y’a le duel entre MacLeod qui m’a fait hurler au Petit Jérémy. Le montage est infect, les effets spéciaux mornes, la prise d’image de catégorie téléroman et le travail audio final à chier. Y’a un flashback dans un flashback calice. J’ai été jeté à terre par la bêtise prétentieuse que constitue ce long métrage et ça a aucun bon sens comment une série de films peut constamment innover rectalement.
Moins 7,28
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