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  • nathanomorin

Blood Debts / Eliminator / L'Éliminateur


Oh qu'on l'a diffusé souvent. 3 fois en fait. Et voici les textes que j'ai écrit sur ce chef d'oeuvre.

Famille tuée, vétéran du Viet-Nam promut en état de légitime vengeance. On est dans le bon vieux patern : Enlèvement – Entrainement – Vengeance d’un héros, plus mystérieusement que jamais, invincible. Mais, c’est Teddy Page…Et notre génie a réussit à amener une twist toute simple à cette prémisse toute pauvre : on coupe court! En à peine 10 minutes Mark Collins aura assouvi sa vengeance, reste 80 minutes…? Il ne va que continuer à tirer sans fin sur la racine de corruption que sa vengeance initiale aura déterrée. Et quand je dis qu’il va tirer sans fin, c’est dans trois sens: La gratuité du viandage, un bijou avec en vedette l’excellent Richard Harrisson. « Mais pourquoi toute cette tuerie nom de Dieu?! » Friggin' traduction qui nous fait perdre sa trace…En tout cas, sur la pochette, y'a Richard Harrison qui hurle en tirant avec un bazooka cheap vers nous, des explosions et, à l'intérieur, une soundtrack divine. 1 – parce qu’il va en trouver des gens à tuer 2 – il va tous les tirer avec son lance pious 3- un tuyau semblable au canon qu'on a vu dans deux autres films va servir à retuer les mêmes figurants qu’au début, mais dans une planche de temps plus condensée. Maintenant…il y a deux choses sur lesquelles je veux cibler votre attention…deux affaires impossibles, mais qui se sont quand même incarnées dans ce film génial. Curieusement, Teddy Page n’est pas responsable de ces deux aspects à faire pleurer le Soleil. C'est que d'écouter du douteux doublé français, ça a de magique de rajouter une étape de gens non motivés au rendu, hachant ainsi et encore dans la qualité initiale du film. Les traducteurs du film de Teddy Page ont réussis un tour de force en deux parties: 1 – ils ont remis en boucle des séquences doublées pour ne pas avoir à les redoubler 2 – ils ont omis de traduire certains dialogues, les laissant dans leur anglais d’origine. Au final, le consensus veut que ce film soit le 2e meilleur de Page. Une oeuvre magistrale à la trame sonore envoûtante. Un classique du 7e qui laisse toutes les idées de Teddy littéralement exploser à l'écran. Moi, la première décision que j'ai prise de ma vie, c'est de naitre le 23 mars, c'était un jeudi saint de tempête de neige incroyable à Rouyn. Pas le 22, pas le 24...le 23. Pis criss, je suis content de mon choix! Bin, parait que j'étais supposé sortir le 10 février mais finalement j'ai attendu le 23 mars. Arrivez à l'hopital le 22 mars au matin, j'ai attendu le 23 mars vers 5h30 du matin pour finalement naitre. J'ai eu la jaunisse et la pneumonie dans mes débuts, puis ça marchait pas l'allaitement faque c'est venu à la bouteille. J'ai chigné solide les premiers mois, pogné de l'eczema, la pneumonie pis la jaunisse pis, vers 2 ans je suis devenu curieux et patient. Et j'ai appris le partage de la plus douce des manières, 1 petit frère à la fois jusqu'à ce que j'en aie 3. Assez parlé de moi, on va parler de ma fête. Comme de naitre le 23 mars c'est la première chose que j'ai décidé de faire, mon premier choix; j'ai toujours considéré ma fête comme la seule vraie date importante du calendrier. Faque là j'introspecte, comme le veut l'Avant de la fête la plus importante...Je penses à tût là...Pis, je vais vous raconter ce soir une métaphore très vraie de ma vie qui me donne à réfléchir encore tout le temps...Je venais d'arriver au Danemark, en 2005. Y'a du bécyk partout là bas...genre, toutes les rues ont un trottoir, une piste cyclable et, si il reste de la place, y'a une voie ou plus pour les voitures. Au Danemark, y'a une lumière jaune aux feux d'intersection...mais dès qu'elle est finie, les gens bougent...Je croyais, je venais d'arriver, que j'avais droit à 1 demie seconde de délais. La vieille madame est sortie d'entre tout le monde pis je l'ai ramassé solide...Y'avait le contenu de sa sacoche répandu, une foule outrée, un criss de cave qui venait de recevoir une leçon de vie pour lui en faisant souffrir quelqu'un d'autre. Je me souviens m'être penché pour ramasser son briquet...je me souviens avoir trouvé ça con que même le petit bout de métal s'enlevait facilement en Europe pis que c'était un épice de plus à me faire sentir mal que le petit bout de métal soit sauté. Plus mal à l'aise que toute les fois où j'ai réussi à me rendre mal à l'aise...pis je suis bon là dedans...Je tendais le briquet à deux mains vers la dame sans visage et sans nom...celle qui s'était penchée en premier pour faire sûr que la dame allait bien...genre...une femme là, une vraie...Quand elle m'a vu avec mon briquet, les yeux pleins d'une tristesse de trop tard de trop cave... Elle m'a dit "You really should go now." avant de s'occuper de la seule chose vraiment importante...120 livres de vieilles dame qui venait de recevoir 200 livres de muscles abitibien qui venait en bécyk à 30 kn/h minimum pour pouvoir pogner la jaune... Une femme là, une vraie. Avant de laisser tomber le briquet et de m'enfuir en bécyk dans un état de déni qui me fait encore peur, j'ai réussis à manquer le dernier test que je pouvais manquer dans cette situation: je n'ai pas trouvé le moyen de rester en contact avec la dame qui venait de manger une des pires volées de ses 80 ans. Je vous prends tous en témoins pis je vous jure que j'ai appris la leçon. J'm'excuse madame danoise. J'aimerais aussi faire, officiellement, taire les rumeurs qui disent que je changes souvent ma photo de profil ces temps-ci sur facebook pour faire plus parler de moi pendant cette période de magie que j'ai créé pour moi... On passe au film. Comme le dirait Toto, ce soir, on se gâte. Patience et attention vous permettront de vaincre les zones mornes. Remarquez les one liners...mettez en avant les prises visuelles tout croche...L'acting aussi près du doute que possible...tout coche au moins solide, suffit de s'y attarder un peu... Teddy Page, c'est tellement l'amour, que c'est une des zones de confort internationale les plus reconnues. C'est tellement douteux, Teddy Page, qu'on le surnomme partout, tout le temps, 'index gauche de Tommy'. Teddy 'moyenne de -8' Page. On sait que plusieurs athlètes professionnels usent de substances pour aider leur moyenne...kossé Teddy Page a pris pour autant stimuler la sienne... Teddy Page, c'est comme le leprechaun qui possède un chaudron de 'manières de faire les coins ronds'. Là, je sais, vous avez aimés la nostalgie et l'impression de 'jouage au docteur involontaire sublimé' de Super Mario Bros, mais Eliminator est un exemple beaucoup plus vivace de ce qui fût un déclancheur certain de notre mouvement. Heck, j'ai connu Simon Chénier... grâce à ma mère d'abord...c'était un certain 23 mars 1978; grâce à Reb Brown et Bruno Matéi ensuite, c'était un certain printemps 2002 - 2003...mais, et c'est tout le temps plaisant de se le rappeler, moi, Simon Chénier, ceux qui lèvent la main, plusieurs français et tous les purs et les vrais, considérons tous que Teddy Page, un de ces rares cinéastes que l'on dit appartenir à la vague du 'cinémasti de calice', est le plus douteux de tous les réalisateurs distribué internationnalement et traduit...en des langues... MIKE MONTY!!! Mais ça a pas rapport...puisque c'est Mike Monty. Je réalise aussi que, Teddy Page, c'est le gars qui m'inspire encore le plus quand j'ai à parler de... MA FÊTE! Psyche! Je vous prédigère le film solide là, question que vous remarquiez les 'meilleures blagues'. Le film est en 2 parties distinctes autant tout croche l'une que l'autre. Partie 1 Suite à un pic-nic dans la cours arrière, mauvais acteur et mauvaises actrices se font tuer par une bande de...euh...des chasseurs qui chassent le cerf dans les cours arrières des gens...ça se nomment des 'criss de caves'. La première phrase du film est un très bon indice au fait que vous allez entendre quelques-uns des pires one liner de l'histoire de la vie, et ce, avant que notre héros, Richard Harrison, sente monter en lui ou se trouve un prétexte pour assumer un désir de vengeance personnelle. Partie 2 Après une enquête bâclée et des assassinats immondes perpétrés sous le couvert le plus mince ever du châle de la justice, Notre héros se fait contacter par des gens qui veulent l'aider à purifier a.k.a. tuer tous les figurants du parc parce que sont méchants. Finalement, le groupuscule qui supportait les efforts de la moustache écarlate est en fait un covert de la CIA-Mafia-prétexte. Leur but était de faire tuer tous leurs compétiteurs par un gars manipulé pour gagner le contrôle du parc. Malheureusement, ils n'avaient pas compter que la soif de vengeance personnelle du héros allait être leur perte. Ça culmine avec une des plus douteuse finale de film de tous les temps. Pis comme c'est ma fête pis que ce film fait parti de mon top 72, je vais peut-être me permettre de placer plus de commentaires utiles à la bonne compréhension de l'ensemble. DUM_DE_DUM DE_DE_DE_DE_DUM Oui, on a encore decides, tous ensemble, de faire face à Teddy Page. On a choisis de se déplacer pour venir voir 5400 secondes de matériel Philippin original de 1984. Ce soir, on est amassés ensemble devant Teddy Page, celui qui nous avait fait pleurer et rire…nope…pleurer de rire avec les Massacreurs, sont premier film, début février dernier. Vous vous êtes déplacés malgré le fait que Teddy Page, sans l’ombre d’un doute, s’étalera glorieusement sur cette toile, sous vos projectiles et à maintes reprises dans le futur. Ce soir, je suis fier de te présenter, masse douteuse, Blood Debts, connu ici sous le nom original de ‘Eliminators’, le troisième film de celui que j’ai autrefois et de manière de plus en plus définitive taxé de : Le Plus Douteux De Tous Les Réalisateurs. De l’espèce humaine mettons… Héros obscur de couleur et d’état, James Gaines servira ce soir de lien entre le héros et les mystérieux gardiens de l’underworld. Jim Gaines n’est que très rarement au centre de l’action d’un film. Tout comme il ne survit jamais au scénario; vous vous souvenez de comment il s’est garroché sur la grenade dans Hunter’s Crossing – Les Massacreurs. Il tiendra ce soir la performance de son personnage la plus soutenue, apparaissant à toutes sortes de moments de toutes sortes de degrés de pertinence, il sera tour à tour mais de la même manière : étranger, employeur, allié puis pourvoyeur en arme recyclée trois films plus tard…Vous allez comprendre…En fait, ce que je veux dire, c’est que j’ai déjà parlé de Teddy Page, Richard Harrisson tout le monde le connaît et Mike Monty j,en parlerai une autre fois… Si vous avez un nom à vous rappeler du film de ce soir, un acteur douteux qui brillera désormais bizarrement au firmament de ceux auquel vous portez un prestige, c’est bien Jim James Gaines. Parlons du film, Blood Debts – Eliminator maintenant. Famille tuée, vétéran du Viet-Nam promut en état de légitime vengeance. On est dans le bon vieux patern : Enlèvement – Entrainement – Vengeance d’un héros, plus mystérieusement que jamais, invincible. Mais, c’est Teddy Page…Et notre génie a réussit à amener une twist toute simple à cette prémisse toute pauvre : on coupe court! En à peine 10 minutes Mark Collins aura assouvi sa vengeance, reste 80 minutes…? Il ne va que continuer à tirer sans fin sur la racine de corruption que sa vengeance initiale aura déterrée. Et quand je dis qu’il va tirer sans fin, c’est dans trois sens : 1 – parce qu’il va en trouver des gens à tuer 2 – il va tirer avec son lance pious et, 3- un tuyau semblable au Douteunator du Sergent Gland va servir à retuer les mêmes figurants qu’au début mais dans un ordre plus condensé. Maintenant…il y a deux choses sur lesquelles je veux cibler votre attention avant que ça ne défile…deux affaires impossibles mais qui se feront dans vos faces plus souvent qu’autrement. Teddy Page n’est pas responsable de ces deux aspects à faire pleurer le Soleil…Écouter du douteux en français, ça a de magique de rajouter une étape de gens non motivés au rendu, hachant ainsi dans la qualité initiale du film. Les traducteurs du film de Teddy Page ont réussis un tour de force…1 – ils ont remis en boucle des séquences doublées pour ne pas avoir à les redoubler : et 2 – ils ont omis de traduire certains dialogues, les laissant dans leur anglais d’origine. Sur ce, je suis heureux de vous informer que les informations concernant la réunion d’informations sur la création toute prochaine du C.A. de Douteux.org aura lieu à la date qui sera écrite sur le site dans la section ‘’nouvelles’’ incessamment. Merci d’aller voter et faites attention à Billy Drago!


Moins 8,18

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